Nous allons traiter et poser les sujets, avec beaucoup d’humilité, sur le programme des conférences. Nous allons nous attacher à faire en sorte que des gens qui savent de quoi ils parlent viennent nous expliquer et nous donner des éléments pour comprendre, prendre le recul nécessaire et essayer d’apporter des solutions. (…) En fait, c’est la manière de consommer l’immobilier qui est en évolution permanente. Cela, personne ne peut le nier. On parle des sujets environnementaux … Nous avons créé un prix avec nos amis de Procivis (PISE : le Prix de l’Impact Environnemental et Sociétal), parce que c’est un sujet majeur. Les Français, aujourd’hui, ont pris conscience, y compris sur le volet immobilier, qu’il fallait consommer différemment et consommer son immobilier différemment. Cela veut dire que les promoteurs doivent construire différemment, que la rénovation des appartements est un sujet majeur pour le parc ancien. Mais il y a les questions d’accès au crédit avec un vrai sujet sur le financement. La vraie crise, paradoxalement, n’est pas de dire qu’il faut construire Bas Carbone ou des appartements qui consomment moins (cela est très bien) mais si on ne peut pas les acheter, c’est compliqué. Le vrai sujet est de savoir comment on redonne accès au crédit. Est-ce qu’il y a des alternatives ? Il y a en a ! Nous avons des proptech, nous avons des startups qui proposent une alternative par exemple au financement comme Hestia, Zephyr ou d’autres. Voilà ! On va essayer d’apporter aux professionnels sur tous ces sujets d’abord les éléments pour se questionner. Nous savons qu’ils sont dans un momentum très compliqué. Mais les 15000 professionnels que nous attendons sur RENT pour la dixième édition doivent repartir en se disant : « Je repars avec des éléments qui me permettent de penser que je vais pouvoir déployer dans les semaines qui viennent des choses pour repartir en 2024 et avoir ce rebond tant attendu le plus tôt possible.