La neuro-esthétique est une branche de la neurobiologie et les bienfaits cités ci-dessus sont factuels et ont été confirmés en 2019 par l’Organisation Mondiale de la Santé. Ce mouvement a été initié par les recherches menées par deux neuroscientifiques, Semir Zeki et Vilayanur S. Ramachandran.

Il a été mis en pratique par Guillaume Bottazzi, reconnu comme un pionnier de ce mouvement.  Les créations de cet artiste ont fait l’objet d’une étude des neuroscientifiques Helmut Leder et Marcos Nadal, de l’Université de Vienne en Autriche, qui, après dix ans de recherche sur le cerveau et l’art, ont prouvé qu'elles rendent heureux en réduisant notamment notre anxiété et en produisant de la dopamine. 

Il est ainsi aujourd'hui reconnu par la science que les nombreuses interventions dans des espaces publics de l’artiste Guillaume Bottazzi permettent de réduire les tensions sociales, la violence et l’incivilité ; de rendre la population plus élégante, plus vertueuse et plus saine. 

Guillaume Bottazzi a plus d’une centaine de créations pérennes dans des espaces publics à son actif. Les expériences sensorielles produites sont adaptées aux besoins des utilisateurs des espaces. Intervenir dans des lieux différents, comme dans des espaces d'accueil, de convivialité, ou comme sur une place, ou sur des lieux de travail, ou sur une coulée verte, comme dans un espace dédié à recevoir des personnes handicapées ou dans des lieux destinés au bien-être et à la santé, modifie considérablement son cahier des charges.

A La Défense, l’artiste a voulu réaliser un tableau solaire et optimiste, en mouvement car c’est un lieu de passage, et nous mettre dans de bonnes dispositions. Ce tableau réduit notre sentiment d’isolement en activant des zones miroirs qui sont les mêmes que celles que l’on active lorsque l’on regarde une personne que l’on aime. Réalisé aux pinceaux, il apporte une qualité propre qui humanise un lieu parfois ressenti comme froid.

L’oeuvre favorise aussi la cohésion sociale, les échanges et le partage, mais aussi la fierté d’appartenance à une société et à un territoire. Il permet d'apporter de la joie de vivre et d'agir comme un médicament auprès du public, d'activer des neurotransmetteurs qui produisent du plaisir et renforcent notre capacité à vivre. 

Participer à la réalisation de soi, d'aider le public à se retrouver et à se reconstruire et d'accompagner les personnes qui souffrent ou qui vivent des moments difficiles font partie des objectifs poursuivis par l’artiste dont l’art qu’il vient de livrer renforce notre immunité et agit contre la dépression en produisant de la sérotonine, ce que produisent les antidépresseurs. 

Son oeuvre permet aussi de lutter contre l’isolement et de diminuer notre sentiment de solitude en activant des neurones miroirs. Elle diminue l'anxiété et le mal être et contribue à prendre du recul sur les choses. Elle aide à diminuer de nombreuses maladies mentales et développe l'acuité cognitive du public. Elle rend les gens plus aimants et plus sociables.